La fluoration de l’eau à Mont-Joli: un débat stérile
Les droits des citoyens doivent être primés
Gilles Parent, naturopathe
Opinion du lecteur – Publié le 4 novembre 2011 à 10:20
Photo d’un robinet illustrant l’ouverture du Symposium du Réseau Canadien de l’Eau, à Montréal, le mercredi 8 juin 2011.JOEL LEMAY/24H MONTREAL/AGENCE QMI |
Le 24 octobre dernier, la ville de Mont-Joli a invité la Direction de la santé publique du Québec à défendre le projet de la fluoration de l’eau potable. Dans une présentation publique menée et gérée par les autorités de la santé publique, le cadre se prêtait mal à un débat scientifique de qualité. De toute façon le débat aurait été stérile, nous aurions confronté une étude contre une autre, l’avis d’un expert contre un autre et finalement le match aurait été nul, chacun des camps restant campé dans sa position. Peut-on s’élever au-dessus de la mêlée et mettre le citoyen au centre de nos préoccupations? Comment le citoyen peut-il s’y retrouver? A-t-il véritablement le droit de savoir et de choisir ce que l’on met dans son eau qu’il boit chaque jour? L’état ou la municipalité, même croyant agir en bons pères de famille, ont-ils le droit d’imposer une forme de thérapie contre la carie dentaire sans le consentement éclairé de chacun de ses citoyens? Cette question fondamentale de droit se pose. Or l’«Avis sur l’éthique de la fluoration de l’eau» du Comité sur l’éthique de l’institut national de la santé publique du Québec ne l’a pas été envisagé.
Les autorités de la santé prétendent que la fluoration de l’eau est une mesure de santé publique efficace et sans danger pour la santé et l’environnement alors que les opposants prétendent exactement le contraire, tous deux brandissant études scientifiques sur études scientifiques, experts sur experts. Tous deux ont la santé de la population et la protection de l’environnement à cœur. Théoriquement une seule des options doit être valide. Devant un seul doute, le «principe de précaution» doit s’appliquer.
Dans le débat scientifique, l’appui d’organismes aussi prestigieux puissent-ils être, n’a aucune valeur. Seules les preuves scientifiques comptent. Une commission d’enquête ou parlementaire provinciale est requise pour faire la lumière sur cette mesure de santé publique. Il y a, en effet, bien des aspects scientifiques et légaux de la fluoration qui demeurent sans réponses et auxquels il faudrait répondre avant de débattre de l’efficacité de la mesure. La recension de l’Université York s’est étonnée de la piètre qualité des études sur la fluoration de l’eau potable et de leur faible nombre pour une mesure de santé publique en place depuis plus de 60 ans. Sur le plan juridique, quelle est la nature légale exacte des produits chimiques servant à la fluoration? Sont-ils des médicaments ou des produits de santé naturels tel que le définie la Loi sur les aliments et drogues puisque leur action est thérapeutique et qu’ils modifient la composition de l’émail de la dent et même la structure de la dent? Sont-ils une source d’un minéral nutritif pour la fortification des aliments (eau)? Sont-ils des additifs alimentaires? Sont-ils uniquement des produits chimiques pour le traitement de l’eau? Environnement Canada les classes comme «matières dangereuses» ou «substances toxiques», sont-ils alors des «substances toxiques», des «matières dangereuses» ? Santé Canada, dans une réponse à une pétition (genre de demande d’accès à l’information), déclare que les produits de fluoration ne sont que des produits chimiques de traitement de l’eau et rien d’autres. Faut-il réaliser que ce sont de simples «produits chimiques de traitement» ou des «substances dangereuses» qui servent à traiter les gens contre une maladie? Aucun test de toxicologie et aucune révision toxicologique n’ont été effectués sur les produits chimiques de fluoration alors qu’ils sont requis pour que ces produits se conforment à la norme «Standard 60» de la National Sanitation Foundation. Sans ces tests de toxicologie et leur évaluation, il est impossible d’assurer l’innocuité de ces produits. Sans ces tests, on ne peut prétendre scientifiquement que la fluoration de l’eau est une mesure sécuritaire! Le Règlement sur l’eau potable exige que les produits de traitement de l’eau potable soient conformes à la norme «Standard 60». La loi est la loi, il n’y a pas d’exception pour les produits chimiques de fluoration même si ces produits sont solubles dans l’eau, comme les autres d’ailleurs. Santé Canada, le ministère de la Santé et des Services sociaux et le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs (le responsable du Règlement sur l’eau potable) ne sont pas en mesure de fournir ces tests de toxicologie. Les produits ne subissent, non plus, aucune surveillance quant à leur salubrité. Les réponses à nos demandes d’accès à l’information adressées aux autorités nous ont fournis les preuves. Alors le citoyen est-il vraiment protégé? La fluoration, dans ces conditions, transgresse bien des lois!
Faut-il comprendre que la population de Mont-Joli est en droit de s’opposer à consommer un médicament non homologué, non testé, non contrôlé qui est simple sous-produit de l’industrie des engrais chimiques et de défendre l’intégrité de leur personne telle qu’octroyée par l’article 1 de la Charte des droits de la personne du Québec. Peut-on exiger une commission pour faire la lumière sur les aspects scientifiques et légaux de la fluoration?
Fluor: le fardeau de la preuve appartient au ministère soutient Gilles Parent
Publié le vendredi, 04 novembre 2011 12:34 – par Roger Boudreau
Le naturopathe Gilles Parent, coauteur du livre « La fluoration : autopsie d’une erreur scientifique », a fait parvenir aux médias une libre opinion sur le débat sur la fluoration de l’eau potable à Mont-Joli.
Le débat de la fluoration fait rage à Mont-Joli. Il n’est guère facile autant pour la population en général que pour les journalistes de discerner qui dit vrai. D’un côté, les autorités de la santé affirment que la fluoration est une mesure de santé publique efficace et sécuritaire alors que les opposants, tout aussi sérieux, affirment exactement le contraire.
« Mon coauteur Pierre-Jean Morin, Ph. D en médecine expérimentale, ancien directeur de la recherche à l’hôpital Laval et ancien conseiller du ministère de l’Environnement sur les fluorures et moi travaillons sur ce dossier depuis 40 ans.
Dernièrement, nous avons fait une série de demandes d’accès à l’information et trois pétitions (genre de demandes d’accès à l’information) sous l’égide du Commissaire à l’environnement au bureau du Vérificateur général du Canada afin de connaître la nature légale des produits chimiques servant à la fluoration de l’eau potable.
Nous visions aussi à savoir comment et par qui la gestion et les contrôles sur ces produits étaient assurés pour assurer la protection de la santé publique. Santé Canada a finalement avoué, étant forcé par la loi du Vérificateur général du Canada, que les produits de fluoration n’étaient que de simples produits chimiques de traitement de l’eau potable et qu’il n’exerçait aucun contrôle et aucune surveillance sur les produits chimiques de fluoration Les produits ne sont pas homologués par Santé Canada malgré leurs actions thérapeutiques et préventives contre la carie dentaire.
L’élément le plus inquiétant est le fait qu’aucun test de toxicologie d’une exposition chronique n’est effectué sur ces produits. Or, il est scientifiquement impossible de déterminer l’innocuité, donc la sûreté, de ces produits sans effectuer ces tests de toxicologie d’une exposition chronique et d’en faire une analyse.
Ces tests de toxicologie d’exposition chronique sont nécessaires autant pour un médicament que pour un produit de traitement de l’eau, et aucun organisme, incluant la National Sanitation Foundation, ne s’est assuré d’effectuer ces tests et, pour les produits chimiques de traitement de l’eau potable à la norme « Standard 60 » exige absolument ces tests de toxicologie.
Ni Santé Canada, ni le ministère de la Santé et des Services sociaux, ni les Agences de la santé publique du Québec, ni le Laboratoire national de santé publique du Québec, ni le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs, ni les municipalités n’ont été en mesure de fournir ces tests de toxicologie. L’article 7 du Règlement sur l’eau potable exige que les produits chimiques de traitement de l’eau potable soient conformes à la norme « Standard 60 ». Sans les tests, ils ne le sont pas, par conséquent, les produits chimiques de fluoration contreviennent à la Loi et ses règlements sur l’eau potable. Ce qui est grave, c’est que sans ces tests, on met littéralement la santé de la population à risque parce que les preuves de leur innocuité ne sont tout simplement pas démontrées. Une telle situation est légalement inacceptable.
Lors de la présentation de la Direction de la santé publique, j’ai demandé, au nom d’Eau courant, au docteur Poirier, si le ministère avait des tests de toxicologie requis, il a retourné la question en disant que nous devrions les faire. Une telle réponse est insultante et irresponsable. Le docteur Poirier devrait savoir que la responsabilité légale et morale appartient entièrement au ministère, d’autant que c’est le ministère qui cherche à imposer la fluoration, que c’est le ministère qui prétend que la fluoration est sécuritaire et que le respect de la loi le requiert.
Faut-il accepter que les autorités de la santé se permettent de contrevenir aux lois et qu’en plus ils mettent la santé de la population, incluant les enfants, à risque alors qu’il est de leur fonction et de leur devoir d’en protéger la santé ? Les faits que nous avons pu obtenir sont tellement incroyables que le doute scientifique est compréhensible, vous n’avez qu’à consulter les pétitions 299, 299A et 299B et les réponses de Santé Canada pour en vérifier la véracité. »
Elle a pas l’air très très brillante…
Danielle Doyer appuie sans réserve la fluoration de l’eau potable à Mont-Joli
Publié le mercredi, 02 novembre 2011 10:15 – par Communiqué
La députée de Matapédia, Danielle Doyer, préfère les explications des spécialistes de la Santé publique à celles des opposants pour appuyer la fluoration de l’eau potable à Mont-Joli.
La députée de Matapédia, Danielle Doyer, n’a pas changé d’idée, elle est toujours en faveur de la fluoration de l’eau potable à Mont-Joli. Sa confiance dans ce dossier va du côté des spécialistes de la Santé publique.
Elle ne se prive pas d’ailleurs d’endosser bon nombre d’arguments que les spécialistes de la Santé publique ont employés lors de la rencontre publique d’information. « On ajoute de l’iode dans le seul pour prévenir le goitre, on ajoute de la vitamine D dans le lait. C’est quoi le problème d’ajouter du fluor dans l’eau pour améliorer la santé dentaire des gens » avait alors demandé le dentiste-conseil Christian Fortin.
Madame Doyer n’en revient pas que 42% de nos jeunes au début du secondaire ont des caries. « Les gens qui sont contre la fluoration vont chercher Gilles Parent, un naturopathe, pour défendre leur cause, dénoncent la grande théorie du complot international pour vendre le fluor qui « empoisonne le monde ». Je n’achète pas du tout ces arguments jusqu’au-boutiste. J’aimerais que les gens soient plus rationnels « dit la députée Doyer.
À ses yeux, il en est qui ont fait de l’agitation leur sport préféré. « Ce sont les opposants à la fluoration qui ont assisté à la séance d’information. Les contre sont généralement toujours plus nombreux dans des séances d’information » lance la députée Doyer qui suit de très près l’actualité mont-jolienne.
Les spécialistes de la Santé publique ont la cote de Danielle Doyer : » Alain Poirier, Christian Fortin, Michel Lévy ne sont pas des deux de pique. Robert Maguire a toujours été dévoué pour la santé publique. Ce n’est pas un fou. Je l’admire ».
Enfin, la députée Doyer se demande la raison pour laquelle à peu près tous les chirurgiens-dentistes et des centaines d’organismes et d’associations crédibles dans le domaine sont en faveur de la fluoration de l’eau potable.
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Bonsoir Gilles et tous
Tu poses des questions tres importantes.
Les produits de fluoration qui sont ajoutés à l’eau potable et ensuite rejetés dans l’environnement sont:
NON réglementés,
NON homologués,
NON contrôlés,
NON éthiques,
NON legals…
NON, c’est NON.
Carole
Translation
News From Quebec
November 5th, 2011 jamesrobertdeal Leave a comment Go to comments
The water fluoridation in Mont-Joli, a sterile debate
The rights of citizens to be awarded
Gilles Parent, naturopath
Opinion of the reader – Published November 4, 2011 at 10:20
Photo showing a valve opening of the Symposium of the Canadian Network for Water, Montreal, Wednesday, June 8 2011.JOEL LEMAY/24H MONTREAL / QMI AGENCY
October 24, the city of Mont-Joli invited the Department of Public Health of Quebec to defend the proposed fluoridation of drinking water. In a public presentation conducted and managed by public health authorities, through ill-suited to a scientific discussion of quality. In any case the debate would have been fruitless, we would have faced a study against another, the opinion of one expert against another and eventually the game would have been zero, each camp to camp in his position. Can we rise above the fray and put the citizen at the center of our concerns? How can citizens navigate? Did he really deserve to know and choose what you put in the water he drinks every day? The state or municipality, even believing to be good fathers, they have the right to impose a form of therapy against tooth decay without the informed consent of each of its citizens? This fundamental question of law arises. Or the “Notice on the ethics of water fluoridation” Committee on Ethics of the National Institute of Public Health of Quebec has not been considered.
The health authorities claim that water fluoridation is a public health measure effective and safe for health and the environment while opponents argue the opposite, both brandishing scientific studies on scientific studies, expert experts. Both the health of the population and protection of the environment to heart. Theoretically one of the options must be valid. Before a single doubt, the “precautionary principle” should apply.
In the scientific debate, supported by such prestigious organizations as they may be, has no value. Only evidence counts. A parliamentary commission of inquiry or province is required to shed light on this public health measure. There are, in fact, many scientific and legal aspects of fluoridation that remain unanswered and which should be answered before discussing the effectiveness of the measure. The review of York University expressed surprise about the poor quality of studies on fluoridation of drinking water and low number for a public health measure in place for over 60 years. In legal terms, what is the exact legal nature of chemicals used for fluoridation? Are drugs or natural health products as defined in the Act since the Food and Drug therapeutics and their action is to alter the composition of the enamel of the teeth and even tooth structure? Are they a source of mineral nutrient for food fortification (water)? Are food additives? Are they only chemicals for water treatment? Environment Canada classified as “hazardous” or “toxic substances”, are they then “toxic substances”, the “dangerous”? Health Canada, in response to a petition (kind of request for access to information) states that the fluorination products are only chemical treatment of water and nothing else. Must realize that they are mere “chemical treatment” or “hazardous substances” which are used to treat people against a disease? No toxicology test and no toxicological review were conducted on fluoridation chemicals as they are required to ensure that these products conform to the standard “Standard 60” of the National Sanitation Foundation. Without these toxicology tests and evaluation, it is impossible to ensure the safety of these products. Without these tests, we can not scientifically claim that water fluoridation is a safe! Regulations require that drinking water treatment products of drinking water are consistent with the standard “Standard 60”. The law is the law, there is no exception for fluoridation chemicals even if these products are soluble in water, like any other for that matter. Health Canada, the Department of Health and Human Services and the Department of Sustainable Development, Environment and Parks (the head of the Drinking Water Regulations) are not able to provide the toxicology tests. The products do not suffer, either, no supervision for their safety. The answers to our requests for access to information to the authorities have provided the evidence. While the citizen is really protected? Fluoridation, in these conditions violates many laws!
Does it mean that the people of Mont-Joli is entitled to oppose use an unlicensed drug, untested, unchecked is simply a byproduct of the chemical fertilizer industry and to defend the integrity of their person such qu’octroyée by section 1 of the Charter of human rights in Quebec. Can we charge a commission to shed light on the scientific and legal aspects of fluoridation?
Fluoride: the burden of proof belongs to the ministry supports Gilles Parent
Posted on Friday, November 4, 2011 12:34 – Roger Boudreau
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The naturopath Gilles Parent, co-author of the book “Fluoridation: Autopsy of a scientific error”, sent the media a free opinion on the debate on the fluoridation of drinking water in Mont-Joli.
The fluoridation debate is raging in Mont-Joli. It is not easy for both the general public and for journalists to discern who is right. On the one hand, the health authorities claim that fluoridation is a public health measure effective and safe, while opponents, equally serious, say just the opposite.
“My co-author Jean-Pierre Morin, Ph.D. in experimental medicine, former director of research at Laval Hospital and a former adviser to the Ministry of the Environment on fluorides and I are working on this for 40 years.
We recently made a series of requests for access to information and three petitions (such requests for access to information) under the Environmental Commissioner in the office of the Auditor General of Canada to know the legal nature of chemicals used for fluoridation of drinking water.
We visions as to how and by whom the management and controls on these products were provided for the protection of public health. Health Canada has finally confessed to being forced by the law of the Auditor General of Canada, the fluorination products were simple chemical treatment of drinking water and that he had no control and no monitoring of chemical fluorination products are not approved by Health Canada in spite of their therapeutic and preventive measures against dental caries.
The most worrying is the fact that no toxicology test of chronic exposure is performed on these products. However, it is scientifically impossible to determine the safety, so safety of these products without these toxicology tests of chronic exposure and make an analysis.
These toxicology tests of chronic exposure are needed both for a drug product for treatment of water, and no organization, including the National Sanitation Foundation, made sure not to perform these tests and, for products Chemical treatment of drinking water to the standard “Standard 60” absolutely requires the toxicology tests.
Neither Health Canada nor the Department of Health and Human Services, nor the agencies of the Quebec Public Health or the National Laboratory of Public Health of Quebec, nor the Department of Sustainable Development, Environment and Parks, or municipalities have been able to provide these toxicology tests. Section 7 of the Regulations requires that drinking water treatment chemicals in drinking water are consistent with the standard “Standard 60″. Without the tests, they are not, therefore, the fluoridation chemicals in violation of the Act and regulations on drinking water. What is serious is that without these tests, it literally puts the health of the population at risk because the evidence of safety are simply not proven. Such a situation is legally unacceptable.
During the presentation of the Directorate of Public Health, I asked, on behalf of running water, Dr. Poirier, if the department had requested toxicology tests, he turned the question by saying that we should do . Such a response is insulting and irresponsible. Dr. Poirier should know that the legal and moral responsibility belongs entirely to the ministry, especially as it is the ministry that seeks to impose fluoridation, it is the Ministry which claims that fluoridation is safe and that compliance required by law.
Should we accept that health authorities will allow to violate the laws and in addition they put the health of the population, including children, at risk as it is their function and their duty to protect human health? The facts that we obtained are so incredible that scientific uncertainty is understandable, simply visit the petitions 299, 299A and 299B and Health Canada’s responses to check its veracity. ”
She did not look very very bright …
Danielle Doyer fully supports the fluoridation of drinking water in Mont-Joli
Posted on Wednesday, November 2, 2011 10:15 – by Press Release
The member for Matapedia, Danielle Doyer, prefers explanations of Public Health specialists to those opponents to support the fluoridation of drinking water in Mont-Joli.
The member for Matapedia, Danielle Doyer, has not changed his mind, it is always in favor of fluoridation of drinking water in Mont-Joli. His confidence in this matter is the part of specialists in public health.
She does not hesitate also to endorse many of the arguments of public health specialists have used in the public information meeting. “Iodine is added solely to prevent goiter, adding vitamin D in milk. What’s the problem of adding fluoride to water to improve dental health of people “had asked the dentist consultant Christian Fortin.
Ms. Doyer can not believe that 42% of our youth at the beginning of secondary caries. “People who are against fluoridation fetch Gilles Parent, a naturopath, to defend their cause, denounce the theory of large international conspiracy to sell the fluoride” poisoning the world. ” I do not buy any of these arguments hardliner. I wish people were more rational, “said the MP Doyer.
To him, there are those who have made the agitation favorite. “These are the opponents of fluoridation who attended the briefing. The cons are generally always more numerous in briefings “MP launches Doyer following closely the news Jolien Mont.
Specialists in Public Health are popular Doyer Danielle: “Alain Poirier, Christian Fortin, Michel Lévy are not two of spades. Robert Maguire has always been dedicated to public health. This is not a fool. I admire him. ”
Finally, the MP Doyer wonder why almost all dentists and hundreds of credible organizations and associations in the field in favor of fluoridation of drinking water.
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Bonsoir Gilles and all
You ask some very important issues.
The fluorination products that are added to drinking water and then released into the environment are:
Unregulated
Not approved,
Uncontrolled
Unethical
Not legal …
NO MEANS NO.
Carole